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Après une bonne nuit réparatrice, nous nous réveillons en France. La tenancière du gîte nous sert à 6h30 le petit déjeuner dans la cuisine, sa nuit a été très courte, elle est fatiguée après avoir accueilli des randonneurs Parisiens arrivés par le train de 11h30. 

Nous montons sur nos vélos à 8h30. Nous ne résistons pas longtemps à l’odeur de pain frais en traversant les villages et nous nous arrêtons déguster un gâteau sur le bord de la route.

Nous rentrons à l’office de tourisme de Bayonne demander la carte des pistes cyclables et des campings du département. 

Ce midi le déjeuner est avalé sur la table en bois d’un air de jeux à Tarnos. Guy se coupe les cheveux.
Nous repartons sous la chaleur. Plus loin nous entrons dans un camping certain que c’est le municipal mais la réception est fermer elle ouvre à 17h00. Une estivante en vacances pour trois semaines nous invite à prendre un rafraîchissement sous sa tente. Nous discutons ensemble autour d’un diabolo menthe et nous comprenons que nous sommes dans un camp de la RATP. Elle nous propose gentiment de nous héberger pour la nuit.
Soucieux de notre indépendance, nous allons à l’office du tourisme, tous les campings sont complets, Guy insiste et dit nous sommes des pèlerins de Compostelle en vélos et bien fatigués. L’hôtesse téléphone au camping municipal qui nous trouve une place. Sur le chemin nous passons faire nos courses au super marché. Arriver au camping nous prenons la première place à droite devant le chemin. Un couple de Nantais avec deux enfants campent depuis 15 jours à coté.

Dans le camping il y a de l’animation ce soir nous dînons devant notre tente. 

La nuit est très agitée Guy se lève deux fois pour faire taire des jeunes qui bavardent devant notre tente. Ils partent plus loin quand tout à coup encore du bruit, il est 4h00, des mémés en colère manifestent après un marchand ambulant qui les réveillent tous les matins avec son camion.